Emploi L’élevage équin généralement une activité secondaire
Les chefs d’exploitation pratiquant l’élevage équin le font généralement comme activité secondaire et par « passion ». Un tiers d’entre eux n’ont pas d’objectif économique sur ce secteur.
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», publiée par Équi-Ressources le 17 novembre 2016. Ce chiffre monte à 88 % dans la branche de l’élevage.
Pour preuve, parmi les dirigeants de la filière, 48 000 sont chefs d’exploitation. Ces derniers pratiquent généralement une activité d’élevage associée à d’autres prestations comme la pension, la reproduction et l’étalonnage. « Il s’agit d’une activité-passion que beaucoup préfèrent pratiquer pour leur plaisir personnel et s’assurer une sécurité financière avec un autre métier », explique Équi-Ressources. Pour un tiers d’entre eux, cette activité est même pratiquée « sans avoir d’objectif économique ». À l’inverse, pour les dirigeants de centre équestre et de courses hippiques, l’activité équestre est souvent déclarée comme activité principale.
7 % des salariés de la filière équine travaillent en élevage
Concernant les 25 867 salariés recensés par la MSA, 3 737 sont employés par le secteur de l’élevage. Contrairement à la branche des centres équestres où les femmes sont prédominantes et aux courses où les hommes sont majoritaires, la parité prévaut pour les salariés de l’élevage équin.
Parmi les 180 000 emplois que comptait la filière équine, 70 % sont considérés comme étant directement en lien avec le cheval et 63 % sont assimilés à des emplois agricoles. Ces derniers regroupent les métiers de l’élevage, de l’équitation, des courses et des chevaux de travail.
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